Selon la nouvelle qui circule, plus de 81 entreprises à qui l’État détient une participation d’environ 110 milliards d’euros en chiffre vont être libéré. Cela dit, l’État va mettre en vente ses parts du marché dans ces différentes activités. Les entreprises concernées les plus connues sont Areva, Renault, Orange, la SNCF, la FDJ, EDF, La Poste et Airbus. Selon l’avis de l’actuel gouverneur, l’État veut s’initier dans l’innovation en cédant quelques parties de ses investissements. Il se peut cependant que certaines sociétés soient privatisées. Cette action ne concerne pas toutes les entreprises, mais seulement quelques-unes et la franchise des jeux aussi connue sous son acronyme FDJ n’y figure pas.
Pourquoi l’État doit-il garder la FDJ ?
Pour mieux comprendre l’idée de l’État avec la privatisation, il faut comprendre l’implication des différentes entreprises pour qu’elles soient relâchées ou pas. Par exemple pour le cas des entreprises stratégiques telles que l’Avera, Thalès et Safran, l’Etat possède une participation plus élevée, c’est pourquoi il tient à les garder. Contrairement à cela, d’autres entreprises du genre Orange, Renault et l’Aéroport de Paris ne présentent plus que des faibles investissements. Du coup, il les laisse entre les mains des particuliers. Pour ce qui est de la FDJ, l’état est actionnaire majoritaire avec une participation de 72 %. Quant aux autres actionnaires, ils ne présentent que 28 % de l’entreprise. Voilà la raison pour laquelle, l’Etat ne compte pas s’en débarrasser de sitôt.
Quel sera l’impact de cette privatisation ?
En mettant en vente ses parts au sein des entreprises diverses, l’État en sort gagnant. Pour le cas de la FDJ en particulier, il recevra des centaines de millions d’euros. La privatisation de cette entreprise n’implique rien au niveau du prélèvement de la mise. En revanche, il y aura une complication sur la réglementation, voir la politique de prévention à l’addiction. C’est pour cela que l’État est forcé d’imposer certaines règles à ce propos. Par le moyen de cette option de privatisation, la concurrence prendra place. Sachant que la FDJ présente un grand privilège sur les jeux de grattages et des loteries, la présence d’un concurrent conduit à l’échec la lutte contre l’addiction aux jeux d’argent.
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