Kindred, le leader des jeux en ligne, est désormais la propriété de l’opérateur français, la FDJ. En effet, la Française des Jeux vient de signer sa deuxième acquisition en dehors de l’Hexagone en seulement moins d’un an. La société a annoncé ce rachat pour la somme de 2,6 milliards d’euros afin de devenir le géant européen des jeux d’argent et de hasard.

Lancement d’une offre publique

En vue de renforcer son empreinte dans l’univers des opérateurs de jeux, la Française des Jeux a récemment confirmé le rachat de Kindred UNIB à -0,95 % pour 2,6 milliards d’euros. Par la suite, la FDJ décide de lancer une offre publique d’achat en numéraire sur les Swedish Depository Receipts du groupe en proposant un prix de 130 couronnes suédoises par SDR. Quelques précisions ont été informées dans un communiqué stipulant que la valeur totale de l’offre équivaut à un multiple de 10,9 x l’ebitda de 2023. La FDJ a également indiqué que le coût en question constitue une surprime de 24 % en comparaison aux 104,50 couronnes suédoises au cours de la clôture des marchés vendredi dernier. D’une part, l’OPA a bénéficié du soutien des conseils d’administration des deux entreprises. Cependant, la finalisation de la transaction requiert l’approbation réglementaire des autorités compétentes. Dans tous les cas, le processus d’acceptation de l’offre s’échelonnera entre le 20 février et le 10 novembre.

Concernant le parcours de Kindred, ex-Unibet, le groupe est fortement présent dans le domaine des jeux en ligne en Europe, en Amérique du Nord et en Australie. Dans le secteur du jeu belge, il possède et exploite le casino de Blankenberge. Outre cet établissement de jeu, il emploie 2 500 personnes et réunit plus de 30 millions de clients répartis sur neuf marques existantes comme Maria Casino, bingo.com ou encore 32 Red. Au quatrième trimestre 2023, Kindred enregistre un chiffre d’affaires global de 312,9 millions de livres sterling, soit une hausse de 2 % sur une année. L’ebitda s’élève à 56, 8 millions de livres sterling, à plus de 45 %.

Chez FDJ, le processus d’expansion se poursuit en réalisant des investissements de premier plan. Au cours de l’année 2023, il a racheté l’opérateur de la loterie nationale irlandaise, Premier Lotteries Ireland (PLI). Cette acquisition lui permet de s’exporter et de s’établir pour la première fois hors de la France.

En commençant cette nouvelle année, BGaming déploie des jeux de grattage Capymania qui offrent aux joueurs des récompenses intéressantes. Le contenu comprend trois titres à gain instantané bien spécifiques qui comportent diverses fonctionnalités de lecture automatique et turbo. Grâce à ces éléments, les productions de cette série promettent une expérience de jeu fluide et excitante.

Gratter et gagner des prix importants

Avec Capymania, le fournisseur BGaming intègre des titres intuitifs et pratiques qui répondent aux attentes des utilisateurs. La présence du mode Turbo offre des résultats rapides en affichant essentiellement les variantes finales. Les jeux sont personnalisables et s’adaptent à toutes les préférences. Avec la lecture automatique, les joueurs déterminent le nombre de séquence au gré de leurs besoins en fixant les limites des pertes et de gains. Du côté des statistiques, le pourcentage s’élève à 97 %. La session fonctionne avec une forte volatilité produisant un gain plafonné à ×100 000 la mise. Cependant, le potentiel de gain varie en fonction du capybara qui intervient tout au long de cette aventure. Il est possible de débloquer le jeu Orange en déposant 0,10 €. Le prix optimal s’échelonne à 10 000 €. En choisissant une carte à 1 €, le joueur accède au jeu Vert réservant un jackpot à hauteur de 100 000 €.

En effet, chaque jeu débute par une carte qu’il faut gratter pour découvrir les 9 numéros. Pour remporter un gain, il faut obtenir trois combinaisons correspondantes. Au niveau des graphismes, chaque jeu dispose d’un personnage bien distinct arborant un design de dessin animé. La conception privilégie un visuel à la fois attractif et fonctionnel destiné aux amateurs de jeux de cartes à gratter.

Selon le producteur en chef des jeux occasionnels de BGaming, Mikalai Dzneladze, c’est une opportunité d’ajouter cette nouvelle version et de créer une expérience encore plus remarquable. Malgré la simplicité des cartes, les joueurs ont l’occasion de renforcer leur session par le biais de trois cartes et du mode accéléré turbo. Le responsable a souligné que les jeux à gratter ont été une réussite d’où l’impatience des joueurs de découvrir les différents titres.

Une croissance en constante progression

Sur le marché, BGaming a enregistré d’excellents résultats sur le plan commercial et opérationnel durant l’année précédente. La société consolide son engagement en termes d’intégrité et de dynamisme avec des revenus en hausse de 95 %. Le lancement de cette nouvelle série de jeux à gratter permet à la marque de commencer 2024 en beauté et de saisir les opportunités.

Outre la sortie de ce contenu passionnant, BGaming poursuit son extension sur de nouvelles juridictions réglementées. Le partenariat le plus récent demeure son accord avec Casimba Gaming signant son entrée au sein de l’industrie espagnole. D’ailleurs, la Dirección General de Ordenación del Juego (DGOJ) a attribué à l’entreprise une licence lui donnant l’autorisation de proposer ses services de jeu.

La Finlande intègre les jeux de cartes à gratter dans les contrôles obligatoires. Dès janvier 2024, Veikkaus, l’opérateur finlandais de jeux d’argent, imposera des contrôles d’identité pour les jeux de grattage. Cette mesure s’ajoute aux vérifications déjà requises pour les jeux de loterie. Elle vise à renforcer la sécurité et à prévenir les abus liés au jeu. De plus, Veikkaus introduira un tirage supplémentaire pour les cartes non gagnantes, offrant ainsi aux joueurs une chance supplémentaire de remporter 1 000 €. Ces initiatives coïncident avec la transition de la Finlande vers un modèle de licence pour les jeux d’argent. Cette évolution marque un tournant pour le marché finlandais, lequel cherche à réguler plus efficacement et à sécuriser l’environnement de jeu, tout en préparant Veikkaus à un paysage concurrentiel.

Désormais des contrôles d’identité pour les jeux de grattage

La Finlande inclut les jeux de cartes à gratter dans les contrôles obligatoires. En effet, à partir du 1er janvier 2024, les jeux de grattage de Veikkaus, nécessiteront une vérification d’identité. Cela englobe les achats en ligne et en personne. Les clients devront présenter une carte Veikkaus, une licence de conduire, une carte d’identité personnelle ou une carte Kela. Cette mesure vise à renforcer la sécurité et à limiter les méfaits liés au jeu, en empêchant l’accès des mineurs aux produits de jeu. Les gains des cartes achetées en 2023 pourront être réclamés sans cette exigence jusqu’à fin 2024.

Lancement d’un nouveau tirage pour les cartes non gagnantes

Veikkaus innove avec une initiative attrayante pour les amateurs de jeux de grattage. À partir de 2024, l’opérateur introduira un tirage au sort spécifique pour les cartes non gagnantes. Cette opportunité supplémentaire permettra aux joueurs de tenter leur chance pour un prix de 1 000 €. Conçu pour valoriser l’expérience de jeu, ce tirage répond directement aux souhaits des clients. Les participants, dont les cartes ne révèlent aucun gain, auront ainsi une seconde chance.

Ce tirage se déroulera quotidiennement dans les points de vente. Ville Venojärvi, directeur des jeux de loterie chez Veikkaus, souligne l’importance de cette innovation. Selon lui, elle apporte plus d’excitation et de valeur au processus de jeu. Ce nouveau tirage illustre l’engagement de Veikkaus envers ses clients. L’entreprise cherche constamment à améliorer l’expérience de jeu tout en restant attentive au retour des joueurs. Ce tirage supplémentaire renforce l’attrait des jeux de grattage, déjà populaires parmi les consommateurs finlandais.

Vers un marché régulé et diversifié

La Finlande se dirige vers une évolution majeure dans la régulation des jeux d’argent. Ce changement historique vise à remplacer le modèle de monopole d’État par un système basé sur des licences. L’objectif est clair : ouvrir le marché à des opérateurs privés. Cette transition stratégique répond à un besoin crucial. Elle vise à canaliser les joueurs vers le marché réglementé local.

Jusqu’à présent, le monopole de Veikkaus n’a pas réussi à retenir efficacement les joueurs finlandais. Beaucoup se tournent vers des casinos offshore. Le gouvernement finlandais, conscient de cette réalité, agit. Un groupe de pilotage politique et un groupe de travail intersectoriel ont été créés. Ces groupes, composés de ministères et autorités clés, supervisent la transition.

L’objectif est de créer un paysage de jeu plus compétitif et diversifié en Finlande. Cette réforme vise également à renforcer la protection des consommateurs. Elle assure une meilleure régulation des activités de jeu. En fin de compte, cette initiative reflète une volonté de moderniser l’industrie du jeu finlandaise. Elle cherche à l’aligner sur les standards internationaux de régulation et de sécurité.

Implications pour Veikkaus et le marché des jeux d’argent

La transition de Veikkaus vers l’identification obligatoire pour les jeux de grattage signale un tournant majeur. Cette décision s’inscrit dans un contexte plus large de réforme du marché des jeux d’argent en Finlande. Veikkaus, en tant qu’opérateur historique, s’adapte à un environnement en mutation. La société anticipe des changements structurels significatifs. La scission envisagée de Veikkaus est une réponse à l’évolution du marché. Elle découle de la fusion de 2017 qui avait consolidé les paris sportifs, les machines à sous et les paris hippiques. Ce remaniement vise à préparer Veikkaus à la concurrence accrue.

Le marché finlandais s’ouvre progressivement à de nouveaux acteurs. L’introduction d’un système de licences invitera des opérateurs privés. Ce changement de paradigme vise à canaliser les joueurs vers le marché régulé. Il répond aux défis posés par les casinos offshore. La stratégie de Veikkaus, en réponse, se focalise sur la sécurité et la responsabilité sociale. La société prévoit de réduire son réseau de jeux et de réorganiser son personnel. Cette réduction, estimée à environ 240 employés, reflète l’adaptation à la nouvelle dynamique du marché.

Ces évolutions soulignent l’engagement de Veikkaus envers un jeu responsable. La mise en œuvre de contrôles d’identité est une mesure de prévention clé. Elle vise à protéger les joueurs vulnérables et à prévenir les risques liés au jeu. Ce cadre réglementaire renforcé est essentiel pour maintenir la confiance des joueurs. Il contribue à l’intégrité du secteur des jeux d’argent en Finlande. En somme, Veikkaus navigue dans un paysage en mutation, cherchant à équilibrer les impératifs commerciaux et la responsabilité sociale.

La FDJ acquiert la propriété de PLI (Premier Lotteries Ireland), l’opérateur irlandais qui assurait la gestion de la Loterie nationale irlandaise. L’opérateur français a réalisé cet exploit en passant devant d’importants concurrents et grands noms de l’industrie européenne (voire mondial) du jeu de hasard.

L’opérateur de loterie français FDJ rachète l’irlandais PLI

La FDJ (Française Des jeux), le célèbre opérateur français a fait l’acquisition de l’opérateur irlandais PLI (Premier Lotteries Ireland). L’opération s’est déroulée lors d’enchères vivement mouvementées, qui se sont tenues le 27 juillet dernier. L’opérateur de loterie français, FDJ, a mis fin à la course à l’acquisition de Premier Lotteries Ireland (PLI) en devenant propriétaire de l’irlandais pour les dix prochaines années. La FDJ a obtenu la licence d’exploitation de l’opérateur irlandais PLI pour la prochaine dizaine d’années.

L’opérateur de loterie français, FDJ, a racheté la loterie nationale irlandaise au terme d’un processus d’appel d’offres auquel prenaient part de redoutables concurrents comme le célèbre opérateur Allwyn International. L’acquisition de l’opérateur irlandais a représenté un important investissement pour la FDJ. Le français a dû débourser environ 350 millions d’euros, soit 384,26 millions de dollars pour acquérir la totalité du capital de l’opérateur irlandais. Les deux acteurs de l’industrie du jeu se sont accordés autour d’un contrat par lequel la FDJ a obtenu les droits exclusifs de gestion de PLI jusqu’en 2034.

Premier Lotteries Ireland n’est pas très différent de la FDJ

L’offre de jeux de PLI est assez proche de celle de la Française Des Jeux. L’opérateur irlandais propose dans sa bibliothèque de produits, des jeux de tirage au sort et des jeux de grattage en ligne et terrestre. L’essentiel de ses revenus, soit 85 %, est réalisé en points de vente. Ses activités en ligne ne représentent alors que 15 % de ses revenus.

Avant l’acquisition de son capital par l’opérateur de loterie français, l’un des actionnaires de PLI était une société de portefeuille du Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OTTP). Ladite société a réduit son importance en réduisant la taille de ses filiales de loterie. Cette opération a alors permis à l’opérateur français FDJ d’en devenir actionnaire majoritaire avec 80 % de parts du capital social, ne laissant à l’actionnaire An Post (The Irsh Post) que 20 %.

La FDJ projette d’étendre sa présence à l’international. Cela passe par des contrats de rachat de capitaux d’opérateurs ou par l’intégration de marchés réglementés de jeux dans différentes juridictions dans le monde. Avec l’acquisition du capital de la Loterie nationale d’Irlande, la FDJ renforce sa présence à l’international et se place au-devant de la scène de l’industrie mondiale du jeu d’argent. Une position qui sera encore plus renforcée si l’opérateur de loterie français fait preuve d’une gestion efficace et efficiente de Premier Lotteries Ireland durant la prochaine dizaine.

La FDJ a fait face à d’importants concurrents pour le rachat de PLI

La Française Des Jeux (FDJ) a affronté d’importants concurrents pour le rachat de l’opérateur irlandais PLI. Son entrée dans la course au rachat de PLI a pour le moins été inattendue et soudaine. Avant son entrée en course, les observateurs s’accordaient à penser que le favori pour le rachat du capital de PLI était Allwyn International. Le plus important des opérateurs de loteries, comprenant la Loterie nationale française et la Loterie nationale britannique. Le géant mondial Allwyn International avait immédiatement réagi à l’annonce de fermeture de Premier Lotteries Ireland. L’opérateur a alors voulu saisir cette occasion de gérer une autre loterie nationale de premier ordre.

L’opérateur mondial de loterie Allwyn International a une forte présence dans l’industrie européenne du jeu de hasard. Il est présent dans de nombreux pays européens et fait figure de leader parmi les acteurs majeurs des loteries en Grèce, en Italie, à Chypre et en République tchèque. Cet important réseau d’opérations à travers toute l’Europe faisait d’Allwyn International, du point de vue des analystes, le favori à la course au rachat de Premier Lotteries Ireland.

Le succès de la FDJ contre Allwyn International prend une dimension qui va bien au-delà de la seule obtention de la licence d’exploitation de PLI. L’opérateur français, en battant le géant Allwyn International, s’est définitivement placé comme l’un des acteurs mondiaux de l’industrie du jeu de hasard. Outre Allwyn, la FDJ a également remporté l’offre de rachat de PLI devant d’autres concurrents non moins importants. Il s’agit de la société australienne Lottery Corporation et la société américaine International Game Technology (IGT).

La PLI jouit d’une prestigieuse réputation dans le milieu irlandais du jeu d’argent

La Loterie nationale d’Irlande jouit d’un important capital estime auprès des acteurs de l’industrie irlandaise du jeu de hasard. La PLI existe depuis plus de 35 ans dans le paysage économique irlandais. Une aussi forte imprégnation dans l’industrie du jeu d’argent a justifié, de l’avis des observateurs, l’effervescence créée autour du processus d’appel d’offres. Ce dernier avait en un laps de temps, suscité de nombreuses réactions de la part d’enchérisseurs, dès sa mise sur le marché.

PLI avait obtenu la licence d’exploitation de la loterie irlandaise pour une durée de 20 ans. Depuis sa prise de contrôle, l’opérateur a effectué d’importantes transformations dans ses opérations. PLI a complètement changé certaines de ses activités en optant pour des plateformes plus modernes. L’opérateur s’est mis à jour sur le plan technologique afin de suivre les dernières tendances de l’industrie du jeu. Cette transformation ou adaptation aux évolutions technologiques et aux besoins de plus en plus croissants, variés et exigeants des joueurs a permis d’importantes contributions sur le plan social et économique.

PLI a facilité la création de nombreuses opportunités d’emploi, soit pour plus de 200 personnes, et l’ouverture de plus de 5 300 espaces commerciaux. PLI est bien connu même au-delà des frontières irlandaises. En Europe, l’opérateur a accordé d’importants financements pour des causes caritatives. Il est également reconnu pour la répartition efficace de ses bénéfices.

En rachetant la propriété de PLI au bout d’une véritable bataille d’offres d’achat, la FDJ a pris l’engagement de poursuivre la vision de l’opérateur irlandais. La FDJ a promis de continuer à innover dans la mise en œuvre de ses prochaines offres de contenus dans l’entreprise.

FDJ enregistre des résultats positifs en marge de son acquisition du capital de l’irlandais PLI

La FDJ réalise de belles performances. C’est ce que révèle le rapport financier du premier semestre, sorti en marge de l’annonce du rachat de PLI. Ledit rapport financier présente les belles performances de l’opérateur français. Il y est indiqué qu’au terme de ce premier semestre, la FDJ annonce une augmentation du chiffre d’affaires de 6 % sur un an et un EBITDA de 300 millions d’euros. À noter que cette performance est quelque peu en dessous de celle réalisée sur la même période l’année dernière. En 2022, la FDJ avait alors atteint un chiffre d’affaires de 308 millions d’euros. Mais, à noter pour cette année que les chiffres indiquent une marge de globale de 23,3 %.

Le rapport indique également des hausses sur certains indicateurs clés de performance. Il s’agit notamment des revenus des paris sportifs et de jeux en ligne ; le rapport indique une hausse de 10 %, soit un résultat de 257 millions d’euros. Le même rapport indique une légère hausse de 1 % des revenus de loteries, soit un résultat de 958 millions d’euros. Cette légère hausse, le rapport l’attribue à la diminution des jackpots de l’Euromillions et du loto au premier semestre. Cette diminution, de l’avis de la FDJ, a entrainé le ralentissement de la dynamique des enjeux numériques.

Outre l’augmentation des revenus des paris sportifs, de jeux en ligne et de loteries, le rapport révèle également l’augmentation de 13 % du chiffre d’affaires total. La FDJ a atteint au premier semestre 2023, un chiffre d’affaires de 181 millions d’euros, dépassant largement les 157,5 millions d’euros atteints l’année dernière sur la même période.

En 2022, le PNB total de la FDJ s’élevait à 399 millions d’euros. Une bonne partie de ce montant, soit 260 millions d’euros, a été alloué au financement de projets communautaires. C’est plus de 4 000 programmes et initiatives communautaires à travers le pays qui ont pu bénéficier de financement. Le rachat de PLI rajoute une touche d’optimisme à la vision de l’opérateur français. La FDJ prévoit une importante augmentation de ses revenus.

Les responsables respectifs des deux acteurs se sont exprimés sur le transfert de propriété de PLI

La Française Des Jeux (FDJ) et Premier Lotteries Ireland (PLI) se sont exprimés sur leur accord. Les deux opérateurs se sont exprimés via la voix de leurs responsables respectifs.

Chez PLI, Vivienne Jupp, la présidente, a déclaré s’agissant de la passation de pouvoir que la société est en permanence restée sur une logique évolutionniste. Elle assure que depuis son acquisition de la licence de la Loterie nationale irlandaise, l’opérateur irlandais a continué de développer son offre de jeux. Poursuivant son allocution, la présidente Vivienne Jupp a salué le dévouement de toute l’équipe de PLI. Rappelant leur travail pour de bonnes causes et pour la communauté, la présidente Jupp a exprimé les souhaits de l’équipe de PLI.

Jupp avance que toute l’équipe de PLI est impatiente d’aborder le prochain chapitre de sa croissance. Une impatience qui s’associe assez facilement à la volonté de l’équipe de travailler avec le nouveau propriétaire, la FDJ. Le but étant de partager les meilleures pratiques avec l’opérateur français et de poursuivre par la même occasion l’exploitation d’une loterie responsable, de haut niveau pour toute la communauté de joueurs irlandais. La présidente n’a pas manqué l’occasion de remercier chaleureusement les deux actionnaires de l’opérateur irlandais, Ontario Teachers’ et An Post. Ceux-ci avaient soutenu PLI et contribué à faire de lui l’un des principaux opérateurs européens de jeux de hasard.

Chez FDJ, Stéphane Pallez, le PDG de la société a décrit un avenir prometteur pour l’opérateur français de loterie. Il reconnait l’importance du rachat de PLI pour le développement de la FDJ. L’opération d’acquisition de PLI rentre dans le cadre du développement transfrontalier de la FDJ. Stéphane Pallez explique que racheter PLI joue un rôle important dans la stratégie de développement international. L’opérateur français continue de se développer tout en gardant son modèle de jeu récréatif, redistributif et responsable.

Les autorités irlandaises doivent valider la transaction

L’acquisition de PLI par la FDJ doit encore être approuvée par les autorités irlandaises. C’est plus particulièrement le régulateur de la Loterie irlandaise qui doit donner son accord pour confirmer et rendre effective la passation de pouvoir. Selon la FDJ, cette formalité pourrait déjà être remplie d’ici le deuxième trimestre de 2023. La société reste confiante, car PLI bénéficie d’une réputation établie dans la gestion avec succès de la Loterie nationale irlandaise, un pilier important du patrimoine national irlandais. Bien qu’il ne soit pas exclu que le nouveau propriétaire rencontre quelques défis au départ, les retombées d’une telle acquisition seront fortement importantes pour l’opérateur français, qui réalise là un accord historique.

La Française des Jeux a signé un accord historique en rachetant PLI, qui assurait la gestion de la Loterie nationale irlandaise. Elle a remporté cet accord en battant d’importants noms de l’industrie du jeu de hasard, également intéressés par le rachat de PLI. Actuellement, la FDJ est au centre de toutes les attentions, et ceci, durant les 11 prochaines années. Le français suscite un grand intérêt de la part des actionnaires, des clients, des observateurs et des analystes du secteur de l’industrie du jeu d’argent.

L’opérateur de loterie nationale en France, la Française des Jeux (FDJ), a nommé Guillaume Wanneroy comme directeur général de sa filiale audiovisuelle ImSoprod le 17 avril dernier. Par la même occasion, le nouveau nom et la nouvelle identité visuelle des studios FDJ ont été présentés au public.

Le groupe FDJ vers de nouveaux horizons

Le groupe FDJ est le gestionnaire principal des jeux de hasard et d’argent en France. Il collabore avec le grand public, les opérateurs de paris sportifs, de poker et de jeux de loterie sur l’ensemble du territoire. Son carnet d’adresses fait de lui un géant dans le secteur des jeux et le meilleur réseau de vente de proximité en France.

FDJ est coté en bourse sur le marché d’Euronext à Paris. La stratégie marketing déployée sur ses différents canaux de distribution permet de renforcer l’attractivité de son offre de services et de ses jeux pour une expérience client plus responsable.

En effet, la filiale audiovisuelle ImSoprod produit les émissions de tirage Loto et EuroMillions. Cependant, elle souhaite améliorer son activité en utilisant des techniques plus modernes pour satisfaire sa clientèle. Ainsi, ImSoprod s’est doté de 4 studios de production à Boulogne-Billancourt, avec un plateau de tournage de 600 m² et un mur de réalité virtuelle de 80 m².

Les équipes d’ImSoprod sont constituées de professionnels dans la création de contenus audiovisuels et la post-production. La technologie ZR (qui est actuellement la plus avancée en matière de production audiovisuelle) leur permet de réaliser des tournages de haute qualité pour les tirages de la loterie.

En tant que nouveau directeur général de la filiale audiovisuelle ImSoprod du groupe FDJ, Guillaume Wanneroy va porter la vision novatrice de la marque dans un secteur en constante évolution.

Guillaume Wanneroy va porter le nouveau projet marketing de la filiale audiovisuelle ImSoprod

La rumeur a couru pendant un moment et c’est enfin confirmé. Guillaume Wanneroy est le nouveau directeur général de la filiale audiovisuelle ImSoprod. Cette nomination rentre dans le nouveau plan stratégique du groupe FDJ. L’entreprise qui produit et diffuse les tirages de l’EuroMillions et des loteries en France va désormais étendre ses services aux contenus événementiels et numériques, et ce projet sera piloté par M. Wanneroy.

Avec sa riche expérience en production audiovisuelle, Guillaume Wanneroy va mettre en place un plan marketing porté vers les annonceurs, les agences de publicité, les acteurs du digital, les éditeurs de jeux vidéo, ainsi que les producteurs de l’audiovisuel et du cinéma.

Avant sa nomination au poste de directeur général de la filiale audiovisuelle ImSoprod, Guillaume Wanneroy a d’abord occupé les postes de directeur général adjoint, directeur général de Réservoir Prod de 2005 à 2020, directeur administratif et financier du groupe FDJ. Bien avant, il a été directeur des programmes à télévision de Mediawan en 2021.

Titulaire d’un DESS en finance et en ingénierie financière de l’Université de Paris Dauphine, Guillaume Wanneroy entame sa carrière au sein du groupe TF1 en 1997. Il va ensuite travailler dans le cabinet EY de 1998 à 2005, avant de déposer ses valises au groupe FDJ.